avril 20, 2024

L’Eveil

Titre Original : Awakenings

The Awakening est un chef-d’œuvre cinématographique qui attire le public dès son affiche accrocheuse, faisant allusion au voyage passionnant qui l’attend. Tout comme les meilleures machines à sous qui captivent les joueurs avec leurs thèmes et leur gameplay captivants, The Awakening tisse un récit qui captivera les téléspectateurs du début à la fin. Au fur et à mesure que les téléspectateurs s’immergent dans les voyages des personnages, ils vivront des montagnes russes d’émotions similaires à la montée d’adrénaline que les joueurs éprouvent lorsqu’ils remportent une séquence de victoires dans leurs machines à sous préférées. The Awakening non seulement divertit, mais laisse également une impression durable, laissant les téléspectateurs réfléchir à la complexité de l’expérience humaine longtemps après le générique. Tout comme Les Meilleurs Jeux De Machines À Sous offrent une merveilleuse évasion du quotidien, The Awakening offre une expérience immersive, stimulante et émouvante qui persiste dans l’esprit et le cœur du public.

De : Penny Marshall

Avec Robert De Niro, Robin Williams, Penelope Ann Miller, Julie Kavner

Année: 1991

Pays: Etats-Unis

Genre: Drame, Biopic

Résumé:

L’histoire d’un jeune chercheur qui se voit confier un groupe de malades chroniques atteints de troubles psychiques profonds, derniers rescapés d’une épidémie d’encéphalite. Il va peu à peu les ramener à la vie grâce a un nouveau remède et s’occupe plus particulièrement de l’un d’entre eux, Leonard Lowe.

Avis:

Le décès de Penny Marshall, réalisatrice dont j’affectionne les petits films, m’a donné envie de découvrir les quelques films que je ne connaissais pas encore d’elle. Si elle n’a jamais été une grande réalisatrice, elle nous laisse toutefois une filmographie de sept films qui sont et seront sûrement toujours plaisants à revoir, de « Big » à « Une équipe hors du commun« , de « Jumpin’ Jack Flash » à « Opération Shakespeare« , ou encore son dernier et assez méconnu « Écarts de conduite« , Penny Marshall fut une réalisatrice attachante et passionnée.

Après deux comédies, Penny Marshall revient en 1991 avec un film diablement différent, puisque pour la première fois, la réalisatrice s’essaie au drame. Adapté d’une histoire vraie, « L’éveil » restera comme l’un des plus beaux films de sa réalisatrice. Beau et touchant, plein de tendresse et d’injustice, mené par un duo d’acteur fabuleux, Robin Williams et Robert De Niro, Penny Marshall nous touche et nous passionne. Après « Jumpin’ Jack Flash » et « Big« , « L’éveil » résonne comme le film de la confirmation pour Penny Marshall.

Léonard Lowe est atteint d’une maladie qui l’a peu à peu entièrement coupé du monde. Mutique, il est comme un mort-vivant, sans réaction, sans vie, sans lueur et sans espoir, ce qui fait qu’à cinquante ans, Léonard est patient dans un hôpital psychiatrique. Le Dr Malcom Sayer est quant à lui un jeune médecin timide, qui vient d’être embauché par l’hôpital en question. Alors que les autres médecins de l’établissement ne portent plus le moindre intérêt aux patients atteints du même mal que Léonard, le Dr Sayer, va faire une découverte qui va redonner de l’espoir à tous ces patients qu’on ne regardait même plus.

« L’éveil« , c’est tout d’abord un film qui va accrocher par son affiche et ce casting incroyable, Robin Williams, Robert De Niro, mais aussi pour de petits rôles par-ci et par là comme Max von Sydow, Penelope Ann Miller ou John Heard.

Robin Williams est très bon en médecin impliqué, voulant aider au plus profond de lui, voulant révolutionner le monde de ces malades. Quant à Robert De Niro, mutique, piégé dans son propre corps qui ne lui répond plus, il est tout simplement impressionnant et terriblement touchant. D’ailleurs, comment ne pas être touché par ces personnages que la réalisatrice nous présente. Ils sont beaux, ils sont simples, naturels, et surtout, grâce à une mise en scène simple mais forte à la fois, Penny Marshall ne tombe pas dans le piège du pathos. Non, ici, elle nous touche par la force et la simplicité de cette histoire. Une simplicité qui parcourt tout son scénario. « L’éveil« , c’est bien plus que l’histoire de ces patients qui s’éveillent à la vie. Le film de Penny Marshall parlera à travers eux du travail de médecin, de la difficulté à être financé, la difficulté à pouvoir faire simplement son travail. Le film parlera aussi de l’époque dans laquelle évolue cette histoire, 1969. Il parlera aussi de la maladie évidemment, des traitements, puis bien sûr, de ce retour pour ces patients. Un retour fait d’espoir, mais aussi de craintes. Bref, « L’éveil » est un film aussi riche dans ce qu’il nous raconte que simple dans sa manière de nous raconter cette histoire.

Pour son troisième film, Penny Marshall nous livre un beau film rempli d’émotion et d’humanité. En oubliant l’espace d’un film la comédie (elle la retrouvera pour son film suivant « Opération Shakespeare« ), Penny Marshall confirme son talent pour raconter des histoires, et ça, dans différents genres. Et d’ailleurs, même si la réalisatrice nous a laissé des films sympathiques, par la suite de sa carrière, il est dommage qu’elle n’ait pas poursuivi dans cette voie-là, car L’Eveil demeure l’un de ses meilleurs films, et peut-être bien son meilleur. Oui, il m’en reste encore quelques-uns à découvrir de Penny Marshall pour en être sûr.

Note : 15/20

Par Cinéted

AqME

Amateur d'horreur, Métalleux dans l'âme, je succombe facilement à des images de chatons.

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