juin 8, 2023

Deviant Zone Courts-Métrages Juin 2013

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Après nous avoir terriblement gâtés, l’association Deviant Zone, principalement représentée par Colin, le projectionniste et Damien, l’organisateur, nous ont proposé, pour clore leur saison 2, une soirée consacrée aux courts-métrages. Mais attention, pas n’importe quels courts-métrages ! Ici, on ne trouvera pas de drame à la française ou encore d’histoires comiques à la mord-moi le nœud (rien que d’écrire cette expression, j’ai mal) avec Dany Boon à l’intérieur. En lien avec le festival Même Pas Peur qui se déroule sur l’île de la Réunion, pour la St Valentin, dans la ville de St Philippe au pied du volcan, la soirée est sous le signe du film de genre, en allant voir de tous les côtés de l’horreur, de l’humour ou encore du fantastique. Alors qui dit courts-métrages, dit gros risque de fréquentation, et pourtant, les premiers chiffres sont plutôt encourageants, avec une hausse par rapport à la saison dernière sur le même thème.

Taillant le bout de gras avec Damien en attendant quelques potes et d’entrer dans la salle, voici qu’une bande de trublions arrive dans le cinoche avec un joli sac plastique contenant du rosé. Il s’agit là de l’équipe du court-métrage Loki Dort composé de Jean-Eudes Monachon le réalisateur, Gaël Leforestier, présentateur télé (mais si, rappelez-vous, Monte le Son sur France 4 !) et Karim Ammour, les acteurs principaux du film et David Scherer, grand maquilleur du gore. On me présente comme le critique du soir (merci Colin !) et voilà que l’on essaye de me soudoyer avec des clopes (je ne fume pas) et du rosé (mais je bois !). La bonne humeur est de mise, surtout que mes potes arrivent et on s’installe tranquillement dans la petite salle du cinéma. Aurélia Mengin, réalisatrice et fondatrice du festival sur l’île de la Réunion est présente pour nous parler de sa sélection et de ses choix. Préférant l’esthétisme et le son dans le cinéma, elle nous prévient que sa sélection se tourne surtout vers l’image et la musique des films, allant toujours vers une atmosphérique lancinante et atmosphérique. C’est alors que les lumières s’éteignent et que la séance commence.

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On commence avec Edwige, un court-métrage français de Mounia Meddour qui tire vers le thriller et le film noir avec trois grands acteurs, Claude Perron, Grégory Fitoussi et Karina Testa.

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Petit plaisir coquin dans la salle de bains ?

Le film est relativement bon, mais ne possède rien de bien novateur. En gros, Edwige est une femme de chambre qui tombe sous le charme d’un résident de l’hôtel. Malheureusement, cet homme possède déjà une jeune et jolie femme dans sa vie. Jalouse et perdant petit à petit pied avec la réalité, Edwige va sombrer dans une douce folie. Si le rythme est lent, l’atmosphère est d’autant plus travaillée, avec des couleurs très ternes qui imposent une certaine mélancolie et une certaine tristesse. Le métrage se suit sans problème et les acteurs, Claude Perron en tête (La Horde, Bernie) est bluffante comme à son habitude. On ne peut s’empêcher, avec mon taquin de voisin, de penser à l’affaire DSK lors de la rencontre entre Edwige et le bel inconnu, surtout quand ce dernier lui dit qu’il a un problème avec sa chemise. Mais trêve de plaisanteries, le film demeure réussi et annonce une belle entrée en matière.

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Le deuxième court est Foodelle de Corentin Quiniou et on entre dans un univers complètement différent. Poussant au maximum l’esthétisme pour raconter une histoire incompréhensible, le métrage peut laisser de marbre blanc, comme le début du film. En gros, on voit une nana qui va faire de la cuisine de façon bizarre avec des œufs d’autant plus bizarres et de trois manières différentes jusqu’à une rupture en noir qui va contraster avec le blanc. Alors je n’ai rien contre le cinéma contemplatif, encore faut-il qu’il raconte quelque chose, et là, je suis resté dubitatif. Alors certes, c’est beau, mais à quoi ça sert ? Oui, oui, je sais ce que l’on va me dire, le cinéma doit-il forcément servir et dénoncer quelque chose ? Non, mais encore faut-il que l’histoire tienne la route ! D’autant plus qu’à la vue du titre, on pensait voir le retour du petit prince du raï ! Je crois qu’il est temps de passer au troisième court !

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L’outil nécessaire pour la compréhension de ce film !

Le troisième court nous provient des States, s’intitule Crown et est signé pas AJ Rojas. Entièrement muet, le film est très difficile d’accès, comme le précédent. On y voit une bande de jeunes qui s’introduise dans une maison plutôt délabrée et qui trouve un serpent ressemblant à un boa albinos. Par la suite, on y croise un homme qui trace des traits à la craie et qui rentre dans cette maison très habitée. Il va fumer dans le serpent et se faire un trip hallucinogène. La fin est tout aussi hallucinante et laisse une bonne partie du public sur le cul, non pas parce que c’était formidable, mais parce que c’était à n’y rien comprendre ! Encore une fois, si l’image demeure travaillée, le court reste très obscur, voir trop et la fin est presque ridicule.

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Quand le curé se prend pour Charles Bronson le glas !

Le quatrième court est français et lorgne vers la comédie et le western. Si Tu Veux Revoir Ta Mère narre la dure vie d’un petit garçon qui demande tous les jours au petit Jésus un vélocross. N’entendant pas ses prières, le petit garçon décide de kidnapper la sainte vierge de l’église et réclame une rançon. Vraiment très bon, hilarant et bien joué, ce court redonne vie à la salle et change complètement de registre, provoquant de nombreux rires. La fin est inattendue et très forte. Néanmoins, le film, malgré sa référence au western lors de l’échange, fait un peu tâche au milieu de la sélection et s’impose comme un entracte entre deux films radicalement différents à l’ambiance beaucoup plus lourde.

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« Je crois que tu devrais niquer ta mère » lui glisse-t-elle à l’oreille.

Le court-métrage suivant est lui aussi totalement muet. Provenant des Philippines, Vesuvius est un ovni filmique, comme Foodelle et Crown. On y croise un jeune homme vivant avec sa vieille mère et il croise une sorte de déesse qui apparait au milieu des mouches et qui possède des pattes de boucs. Bien entendu, on comprend très vite qu’il s’agit là d’un démon et le monsieur va faire des choses horribles. Empruntant à Amityville, l’Exorciste ou encore à Jusqu’en Enfer, le film demeure bien trop long et bien trop dénué d’intérêt. Il est vrai que la réalisation est belle et l’image très soignée, mais tout cela reste encore une fois trop superficiel et le message de fin me fait penser que l’on nous prend pour des débiles.

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Intoxication alimentaire ?

Deadline provient de France et parle de zombie alors qu’il est en anglais (une quelconque volonté de vendre et réaliser à l’étranger ?). On y voit un jeune homme en proie à des démons intérieurs et extérieurs dans son appartement dans lequel il se cloître. Alors qu’on le croit être poursuivi par des zombies, il est en fait lui-même poursuivi car il se transforme en zombie. Si le métrage demeure assez efficace, les effets spéciaux pêchent par leur manque de pertinence et le film résonne plus comme une note d’intention que comme un véritable court-métrage. Néanmoins, il demeure efficace et assez plaisant.

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Par Osiris et par Apis tu es un sanglier, oui, un sanglier !

Autopsy des Délices est le métrage réalisé par Aurélia Mengin qui était présente. S’axant réellement vers l’horreur pure voir le torture-porn (elle avoue elle-même être fascinée par le sexe), le court-métrage s’avère assez bon, bien qu’un peu trop répétitif et un peu trop dans un trip hallucinatoire. On ne comprend pas très bien les motivations du tueur, certaines séquences, assez malsaines, comme la cave avec les corps sous cellophane, sont trop longues ou trop redondantes, mais l’image est soignée, l’ambiance est bien glauque et il réside, avec cette voix-off un certain mal-être. On restera bien évidemment sur un questionnement à la fin concernant la propriété d’une main (et non pas d’une bite, ça, on sait à qui elle appartient) et le tout reste assez intéressant.

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Se faire prendre pas King Kong, ça ne fait pas du bien !

On termine avec surement le pire de la sélection. Morgue Street s’inspire très librement de Double Assassinat dans la Rue Morgue de Edgar Allan Poe. On y croise deux prostitués qui vont se faire tringler par Bobo, le singe qui possède une énorme bite. Si le film emprunte une ambiance aux giallos et notamment au début de Dario Argento sur les couleurs, on pensera notamment à Inferno avec ce violet intense, le film demeure outrancier et putassier. Les scènes gores sont mal foutues, le court ne possède aucune finesse et le gorille possède une énorme saucisse knacki en guise de pénis. Les effets spéciaux demeurent peu crédibles et quand on sait que le métrage est passé pendant la St Valentin à la Réunion, cela fait peur. Chérie, et si j’enfilais mon costume de singe ? Tu peux pas connard, t’es pas assez bien membré !

Le moment de la pause vient de sonner en attendant la sélection de nos amis de la Deviant Zone. De quoi se restaurer, se désaltérer et surtout de quoi se marrer, avec l’équipe de Loki Dort qui s’amuse bien et qui essaye par tous les moyens de trouver un tire-bouchon pour ouvrir une bouteille de rosé. On discute, on se marre, on reparle de la bite du singe, tout ça dans une ambiance détendu et joyeuse. Mais l’heure de revoir du sang et des tripes vient de sonner et il faut se dépêcher de rentrer dans la salle.

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Mais avant de commencer la sélection, quelques personnages s’avancent sur le devant de l’écran. On va y croiser Philippe Reyno, acteur principal dans le court Antoine et les Héros, et qui nous parle de son court. Et on y croise toute la bande de Loki Dort qui s’amuse comme des petits fous. Jean-Eudes Monachon, très prolixe, sort vannes sur vannes, Gaël Le forestier nous sort son petit sourire Bright et nous explique comment il s’est fait péter le nez. Quant à David Scherer, et malgré sa volonté de chanter à tue tête I Will Survive, personne ne lui laisse le micro, une honte ! Damien en profite pour parler de la prochaine soirée Deviant Zone, qui aura lieu fin septembre, en hommage à John McTiernan et Jean-Eudes Monachon précise qu’en octobre, il y a aura une soirée hommage à Emile Louis. La salle est hilare et la bonne ambiance est de mise. Il est donc temps de voir tous ces petits courts-métrages !

Mais avant cela, nous avons droit à un autre court-métrage inédit, Feed to Kill de Mathieu Berthon, qui met lui aussi dans l’ambiance. Il s’agit d’une parodie de film d’action et d’horreur avec de la bouffe. Le mauvais gout est de mise mais la salle rit et c’est bien ça le plus important. Déjanté, nerveux et relativement bien foutu, le métrage se place dans la continuité de la soirée.

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On la sent pas bien la jeune fille…

Le premier court à être présenté est Alice et Lucie. Assez lent mais imposant une ambiance digne des meilleurs giallos comme Ténèbres ou encore, plus récent, Les Yeux de Julia dans une ambiance obscure, le court-métrage s’impose comme une réussite malgré une grosse rupture entre l’ambiance déjantée de départ et l’univers malsain du film. Xavier Ournac signe un duel poignant emporté par une actrice sublime complètement habitée par son rôle. La fin fait penser à Psychose et là, il y a une sacrée référence. Bref, c’est vraiment bon et il y a vraiment un thème traité.

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Steak à chier ouais !

Le deuxième court-métrage est Babysitting et il faut penser à tous ces films diaboliques sur le vilain sort d’une pauvre baby-sitter. Pour ma part, j’y ai vu de belles références, peut-être non voulues, à Babysitter Wanted ou encore à The House of the Devil de Ti West. Le film tient bien la route malgré des accès d’humour parfois peut crédibles mais lorsque le film se réveille, il devient très bon et très gore. On y verra aussi une inférence au Village des Damnés de Wolf Rilla ou John Carpenter, à votre convenance, avec des enfants tueurs placides et implacables. Le film est au final bien réussi et aura pas mal d’applaudissement à la fin.

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Hommage à la Blaxploitation !

Le troisième court-métrage est Antoine et les Héros. Il narre l’aventure d’un jeune garçon fan de l’acteur Jim Kelly (référence à Bruce Lee), jouant dans des films de kung-fu et Angela Steele (référence à Barbara Steele révélée par Mario Bava), jouant dans des films d’horreur. Quand les deux films à l’affiche de son cinéma possèdent l’un ou l’autre de ses acteurs fétiches, le choix sera cornélien et il va faire des va-et-vient d’une salle à l’autre. Il va alors se faire assommer par mégarde et il va mélanger les deux films. Le court-métrage est très bon, drôle et fun et il emballe vraiment le public de la salle. Seule la fin demeure un peu obscure et ne sert pas à grand-chose. Mais sinon, entre les bonnes références et le style graphique, on peut dire que Antoine et les Héros fait partie des meilleurs moments de la soirée.

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Une pizza à quel groupe sanguin ?

Employé du Mois est un court-métrage suisse qui possède de très grandes qualités. Le pitch est très bête mais fonctionne à merveille et le film foisonne d’idées. En gros, les monstres et légendes se retrouvent au chômage et un bureau pour les réintégrer dans la société est mis en place. Il retrouve alors des jobs pour gagner leur vie. On y croisera un zombie, une momie, un démon, une sorcière, une fée, un vampire, un fantôme et d’autres. Le film est hilarant, rythmé et la salle adhère complètement, même si pour nous, les employés du mois et même de l’année sont Colin et Damien (oui, un peu de lèche ne peut pas me donner d’abcès, ils ont l’air propre sur eux ces garçons !)

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Pas si mal que ça ce petit porno !

Arrive enfin le moment tant attendu avec Loki Dort. S’articulant autour d’une histoire de meurtre et de cassette vidéo, le film trouve son ambiance d’entrée de jeu. Il fait sombre, les couleurs bleu-nuit et noir sont étouffantes, le verre par terre n’est pas là pour rassurer. Bref, le ton est donné, on n’est pas là pour rigoler ! Et le film est très réussi même si l’on voit venir le twist final assez longtemps à l’avance. Il est difficile de brouiller les pistes avec seulement deux acteurs principaux. Mais la réalisation est superbe et les acteurs sont bien investis dans leur rôle. Le gore, signé encore une fois par David Scherer (avec tous les films qu’il se tape, soit il roule en Rolls Royce, soit c’est mal payé et il doit faire beaucoup de films pour bouffer !) est parfait, notamment sur le gros plan qui casse le nez ! bref, Loki Dort est une franche réussite !

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Est-il blessé à la bite ? Est-il le fameux gorille ? Trop de questions sans réponses !

On terminera la soirée avec Mandragore de Metaluna Productions. Ari, pourtant à l’affiche ne sera pas présenté car l’horaire est déjà bien avancé. Mais revenons à nos moutons et à nos tubercules. Mandragore prend ses racines à Lucky McKee sur The Woods et picore ça et là des ingrédients sur les sorcières. Si l’ambiance est bonne tout comme les acteurs, le rythme est lent et la fin demeure trop abrupte et en total désaccord avec le film. L’explication de fin bien lourde nous prend pour des cons mais néanmoins, cela reste sympathique et clôt la soirée de belle manière.

On sort alors de la salle et il est un peu plus d’une heure du matin. On continue à discuter, on rigole et en plus, on nous invite à boire un coup ! Malheureusement, les bars ferment les uns après les autres et le devoir m’appelle auprès de ma petite famille. Quant à l’équipe Deviant Zone, ils se sont éclatés dans un bar karaoké à grand coups de rosé et de chenille initiée par un certain David Scherer puis dans le cinéma pour une séance privée de Star Trek Into Darkness qui aura duré jusqu’à 5h30 !

C’est ainsi que s’achève la deuxième saison de la Deviant Zone qui prend des vacances bien méritées. On ne remerciera jamais assez Damien et Colin, ainsi que Karine, pour toutes ces superbes soirées et on attend avec impatience la fin septembre, avec les diffusions de Predator et Le 13ème Guerrier de John McTiernan, pour une troisième saison qui sera, sans aucun doute, encore meilleure. Alors ce sera long d’attendre jusque là, mais la certitude de les revoir, ces fous passionnés du cinéma de genre, est une gageure qui vaut toute attente ! Alors bonnes vacances et revenez-nous en forme ! Et encore un gros gros gros merci !

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Petites Anecdotes Deviant Zone

En annonçant sa fascination pour le sexe, Aurélia Mengin a déclenché 5 saignements de nez, 2 priapismes et un malaise vagal dans la salle.

Gaël Leforestier ne possède aucun lien de parenté avec Maxime Le Forestier à part au niveau dentaire, ils sont frère de sourire bright !

Philippe Reyno n’est pas le frère de Jean, sauf si ce dernier a la maladie de Michael Jackson, ou Philippe la maladie d’Agathe Cléry.

Colin n’est définitivement pas un homme-poisson.

Ne parlez surtout pas d’un certain Louis à Damien Garrel, il risquerait de se fâcher et de balancer des cookies.

Jean-Eudes Menachon n’et pas menachant, au contraire, il est plutôt bienveillant.

David Scherer est atteint d’une rare maladie qui est la micro-Myopathie. Ses muscles se tétanisent lorsqu’il touche un micro.

Karim Ammour, malgré son rôle est vraiment un amour.

Si les cookies de Karine sont si addictifs, c’est grâce à un ingrédient secret, la cocaïne !

Gaël Leforestier n’est pas bucheron, son physique fait office de preuve.

The Real MacCoy aime Cthluhu, c’est pourquoi Stéphane, le chanteur, cache des micro-tentacules dans sa barbe.

Si Colin aime les navets du septième art, c’est parce qu’il est végétarien !

David Scherer ne pratique qu’une seule danse, la chenille.

Si vous n’aimez pas le cinéma de genre, Damien connait un bon proctologue qui élargira sans problème votre cercle de connaissance actuelle.

AqME

Amateur d'horreur, Métalleux dans l'âme, je succombe facilement à des images de chatons.

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Une réflexion sur « Deviant Zone Courts-Métrages Juin 2013 »

  1. Je viens de lire cet « article » si tant est que l’on puisse dénommé ainsi cette succession d’inepties plus drôles et plus navrantes les unes que les autres, inversement proportionnel à l’audace et à la prise de risque des films présentés.

    Des propos « surréalistes » qui pointent du doigt les limites intellectuelles du blogueur et son étroitesse d’esprit, mais la France est  bel et bien le pays de la liberté d’expression…dommage que trop souvent des boîtes crâniennes défectueuses en abusent 🙂

    Aurélia Mengin

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